A DIKOLO, ETIENNE VIT « COMME UN RAT »
Il est la seule victime à n’avoir pas quitté Dikolo après les #démolitions du samedi 14 mai dernier. 47 ans, père d’une fille et réparateur de pneus de métier, Etienne Bissohong a vu son monde s’écrouler ce jour- là et désormais, vit dans une baraque de fortune installée sur le site où les travaux sont à l’arrêt.